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FRIVAO/Kisangani : Les victimes de la « guerre de six jours » dénoncent les tentatives de déstabilisation de l’équipe dirigée par Chançard Bolukola et appellent le Chef de l’État à confirmer son mandat

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Les victimes de la « guerre de six jours » de Kisangani, regroupées au sein de plusieurs associations, ont dénoncé avec vigueur dans une déclaration lundi, les manœuvres de déstabilisation ciblant l’actuelle direction du Fonds de Répartition des Indemnisations des Victimes des Atrocités de l’Ouganda (FRIVAO), conduite par Chançard Bolukola Osony.

Selon elles, ces tentatives seraient orchestrées par des réseaux obscurs mêlant politiciens, leaders religieux et certains acteurs locaux, dans le but de brouiller un processus d’indemnisation qui connaît enfin une accélération sans précédent.

Depuis l’arrivée de Chançard Bolukola à la tête du FRIVAO, plus de 14 000 victimes ont été indemnisées en seulement sept mois, contre 3 163 sous la précédente administration. Ce résultat, salué par les associations, s’inscrit dans la vision du Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, celle d’une indemnisation juste, équitable et transparente.

« Nous rejetons toute tentative de réhabilitation de l’ancienne équipe, dont la gestion a été marquée par des malversations graves. Ce serait une trahison inacceptable envers les victimes », ont-elles martelé dans une déclaration conjointe.

Les associations rappellent que l’ancien comité, dirigé par Monseigneur Mwarabu, s’est illustré par une gestion opaque, le mépris des victimes et des soupçons de détournement de fonds.

Face à la menace de voir les anciennes pratiques ressurgir, la revendication principale des victimes reste la confirmation officielle, par ordonnance présidentielle, de Chançard Bolukola Osony comme Coordonnateur du FRIVAO.

« Il incarne l’écoute, la transparence et une réelle volonté de réparation », affirment-elles.

Elles dénoncent également l’introduction de projets fictifs et occultes visant à détourner les fonds d’indemnisation, en écartant les véritables bénéficiaires régulièrement enregistrés.

Pour contrer ces dérives, une délégation de victimes a été dépêchée à Kinshasa afin de porter le message auprès des institutions nationales, de défendre la continuité de la réforme en cours, et d’exiger des garanties sur la transparence du processus.

Chançard Bolukola, de son côté, a renforcé la collaboration avec les structures de la société civile et les associations de victimes, impliquant ces dernières dans la définition et la mise en œuvre de projets communautaires durables, marquant une rupture nette avec la gestion précédente.

« Nos souffrances ne sont pas négociables », a déclaré l’un des porte-paroles.

La communauté des victimes estime qu’il est impensable que les drames du passé soient aggravés par des injustices du présent, et appelle l’État à garantir une gouvernance responsable et centrée sur la dignité humaine.

La Rédaction

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La Rédaction. Contact : +243 850 710 634 & +243 826 769 494 & +243 817 180 576 Adresse physique du bureau : Makiso, Kisangani, TSHOPO, RD. Congo.

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