Tshopo – Affaire RN7 : un chiffon mal cousu, sorti du laboratoire des ennemis du progrès contre le député national Patrick Matata Makalamba, démonté point par point

Depuis quelques jours, les mêmes officines hostiles au progrès de la Tshopo tentent de fabriquer un pseudo-scandale autour de l’honorable Patrick Matata Makalamba, député national et figure ascendante du Parlement. Elles l’accusent, sans la moindre preuve, d’être impliqué dans un prétendu détournement des fonds destinés à la réhabilitation de la RN7 Opala–Tshuapa.

Une manœuvre cousue de fil blanc.
Un chiffon médiatique mal monté.
Une tentative désespérée d’abattre un homme dont l’action dérange et dont le leadership, à Kinshasa comme à Kisangani, crée des insomnies chez ceux qui refusent de voir la Tshopo se relever.

Cette fabrication politique, sortie tout droit du laboratoire des ennemis du développement, vise avant tout à salir un élu dont l’engagement pour la province devient de plus en plus inconfortable pour certains. À l’Assemblée nationale, Patrick Matata n’est pas un député figuratif : il impose la Tshopo dans les débats, défend ses électeurs avec une pugnacité rare et occupe désormais un rôle de premier plan qui fait grincer des dents. Son influence réelle et son leadership assumé suffisent à expliquer la virulence des attaques orchestrées contre lui.

Face à cette offensive, les artisans du recul ont choisi leur arme favorite : l’intoxication. Pourtant, aucun document, aucune procédure officielle, aucun élément juridique ne rattache de près ou de loin le député Patrick Matata à la gestion financière ou technique des travaux de la RN7. Les accusations reposent sur du vent, des rumeurs mal entretenues et des témoignages instrumentalisés. Rien de solide, rien de sérieux, rien qui puisse résister au moindre examen.

Contacté ce samedi par notre rédaction, le député de proximité, qui s’inscrit résolument dans la ligne droite de la vision de la haute autorité de référence, a balayé ce chiffon d’un revers de main :
« Je ne me laisserai jamais distraire par des montages sans queue ni tête. Mon engagement reste celui du développement, de la transparence et de la défense de la Tshopo. Ceux qui s’agitent aujourd’hui ne cherchent qu’à détourner l’attention de l’essentiel. »

La Tshopo n’a pas besoin de polémiques fabriquées, mais d’avancer ; elle a besoin de voir la RN7 réhabilitée et de se rassembler autour de ceux qui travaillent réellement pour le bien de la population. Les ennemis du progrès peuvent continuer à perdre le sommeil ; la province, elle, doit rester concentrée, déterminée et résolument tournée vers l’avenir.

La Rédaction